L'extraction d'une molaire est pire qu'un accouchement...Mon dentiste n'arrêtait pas de dire " elle sort, it's coming out"
#edit
“DAN BIS”: Messieurs, levez-vous !
Passagère régulière de nos chers autobus, je suis témoin de nombreuses scènes cocasses chaque jour, dont l’une récemment qui m’a particulièrement intriguée …
Dès le plus jeune âge, on m’a appris qu’il fallait toujours céder sa place à une personne âgée, un enfant, un malade, un handicapé, une femme enceinte… J’ai surtout compris qu’il appartenait à ces messieurs de se lever les premiers et de céder leur place, et ce dans la pure tradition locale !
Au cours de ma courte vie — jeune et pas une ride qui dépasse ! – j’ai pu voir de gentils hommes se comporter de manière fort louable à la vue d’une jeune femme enceinte jusqu’aux oreilles ou à une vieille dame qui risquait de décoller tant ses jambes avaient perdu de leur vitalité. Or, cet acte de gentillesse, voire de galanterie (surtout dans certains cas!), est en voie de disparition…
Tout récemment dans un autobus faisant le trajet Port-Louis – Camp Levieux, j’ai pu constater de visu l’ampleur des dégâts. Le bus se transforme rapidement en « boîte sardines » au fil des arrêts. L’on compte des hommes pour la plupart! Et voilà qu’arrivent une femme et son bébé…
Le bus démarre aussitôt ! Voyant le nombre de gens debout (qui dépasse largement le nombre autorisé), la maman se résout à se mettre à côté d’un jeune homme visiblement en bonne santé. S’accrochant à tout ce qu’elle peut pour éviter une cascade digne de Hollywood, la jeune femme jetait de temps à autre un œil (de supplication ?) à l’homme, qui avait l’air de crier en son for intérieur : « pena moi leve ! ». Pas la peine de signaler que c’était également la devise des autres passagers de la gent masculine. Témoin de ce comportement-là, une fille de quelque 13 ans s’est levée et a proposé sa place à la pauvre maman et à son enfant.
Dans un autre autobus cette fois : une femme prête à accoucher à la moindre secousse… Et là encore, aucun de ces messieurs n’a bougé le petit pouce. Une femme a dû, elle, prendre les taureaux par les cornes pour céder sa place à la future maman.
Qui plus est, quel exemple nos chers messieurs d’un certain âge donnent-ils aux jeunes Mauriciens ? Je pense à ce jeune d’une quinzaine d’années qui n’a pas voulu céder sa place à une personne âgée dans ce microbus qui fait le trajet Rose-Hill – Camp Levieux.
Alors messieurs, vous qui êtes plus solides, plus forts et plus grands, que nous autres…, surtout ceux pouvant se transformer en boule de bowling au premier virage, levez-vous et proposez vos places !
Salut, je sais que ça fait longtemps que je ne suis pas venue te voir mais j’aimerais un petit miracle tu sais ! J’aimerais ne plus passer de mauvaises journées…si tu pouvais intervenir !!!!! Je te remercie d’avance, bonne nuit ! Enfin pas bonne nuit, bye…le bonne nuit c’est parce que je prie chaque soir mais bonnn tu dois être déjà au courant ! Enfin non pas chaque soir enfin bref salut !
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M. Popper est un homme d’affaires new yorkais redoutable pour qui le business passe avant tout, même sa famille. Sa vie bascule le jour où son père aventurier lui lègue un pingouin vivant. M. Popper essaye de renvoyer l’animal dans son milieu naturel...allociné
Hayaku: A Time Lapse Journey Through Japan from Brad Kremer on Vimeo.
Vous ne connaissez ni le marchand de sable, ni le croquemitaine, ni La Petite Sirère, ni La Chèvre de M.Seguin. en revanche, grâce à un disque que vous écouter en boucle dès l'âge de six ans, vous découvrer que les enfants peuvent être mangés par le loup s'ils mentent à leurs parents. Cela ne vous affole pas outre mesure. Pour mentir, il faudrait parler de ce qui vous arrive, ce que vous faites le moins possible. De toute façon, il ne vous arrive rien ou presque, vous passez votre temps à imaginer votre vie.
Vous n'aimez pas les animaux familiers, vous préférez les animaux sauvages. Mais il se trouve qu'à force de regarder des reportages animaliers, les animaux sauvages vous sont devenus familiers.
[...] la vie n'est pas toujours un cadeau et il faut toujours se défendre.
Être bien nourri et bien logé a pour effet d'endormir nos sens.
DISPARITION - Le célèbre ours polaire du zoo de Berlin est mort dimanche (samedi?)...Attendons la nécropsie pour savoir de quoi est mort ce petit...
Knut est mort comme il a vécu: seul, stressé et sous l’oeil des caméras. La vidéo des derniers instants de l’ours superstar a été mise en ligne dimanche. Une disparition qui a ému la planète autant que sa naissance l’avait enthousiasmée.
Knut fait partie des trending topics (sujets les plus commentés) sur Twitter ce lundi, et les mots d’adieu se multiplient sur la page Facebook du chouchou du zoo berlinois. Mais derrière ces témoignages d’amour, se cache une réalité bien plus sombre: Knut était un mal-aimé, et ce depuis sa naissance.
Adulé par les hommes, détesté par les ours
Dès ses premiers instants, Knut est rejeté par sa mère, qui l’abandonne sur un rocher du zoo, en compagnie de son frère qui n’y survivra pas. Il ne devra sa survie qu’aux bons soins du gardien Thomas Dörflein, qui l’élèvera comme un fils.
C’est en partie la polémique sur la survie de Knut, élevé par un humain, qui vaudra à l’animal de devenir une star planétaire. Cependant, alors que le monde entier se presse devant son enclos, l’animal continue de vivre sa malédiction.
En 2008, Thomas Dörflein meurt prématurément, laissant Knut définitivement orphelin. En coulisses, un autre drame se joue. Adulé par les humains, l’ours polaire serait détesté de ses congénères. Depuis plusieurs mois, Knut était en effet maltraité par trois ourses de son enclos, parmi lesquelles sa propre mère.
«Tout le monde savait qu'il était soumis à un stress énorme»
Sur son blog, une fan de Knut met même en ligne, en octobre dernier, une vidéo de son protégé malmené par Katjuscha, l’un de ses bourreaux. «La Peta allemande a demandé plusieurs fois aux zoo de déplacer Knut. Tout le monde savait qu'il était soumis à un stress énorme. Sa mort prématurée aurait pu être évitée», a indiqué dimanche l’association de défense des droits des animaux.
De quoi est mort Knut? Une autopsie doit être pratiquée ce lundi pour percer le mystère de la disparition de l’ours polaire, âgé d’à peine 4 ans alors qu’il pouvait encore prétendre à entre 20 et 30 bonnes années de vie.
Les images des ses derniers instants ont été filmées par un visiteur du zoo. On y voit Knut tourner sur lui-même en bavant, le corps parcouru de spasmes, avant s’effondrer dans l’eau de son enclos. Bien que très entouré, comme à son habitude, l’ours polaire est mort seul.
Originaire du sud de l'Inde, cette fête tamoule est la plus impressionnante du calendrier mauricien. C'est une cérémonie de purification du mal. Durant la fête, les participants portent sur leurs épaules le cavadee, structure de bois symbolisant les montagnes sacrées et abondamment décorée.
Une longue préparation de plusieurs jours, accompagnée d'un jeûne, précède la cérémonie où nombre de participants entrent en transe.
La musique, la fatigue et les prières permettent d'accéder à une sorte d'état second dans lequel on est sensé se rapprocher de Dieu. Certains se plantent des aiguilles dans les joues, des épingles dans la langue, des crochets dans le dos, avant d'aller au temple où des offrandes sont faites.
Ferveur, délire, cris, transes et joie intense. Il faut y assister en toute discrétion.
source : routard.com
Une panne d'électricité, une marche qui se dérobe, une chute dans l'escalier, et vous voilà en mille morceaux, indisponible pour des semaines, des mois peut-être. Est-ce grave ? Au début, on ne sait pas bien. Aux urgences les diagnostics relèvent de la fantaisie, la lecture des radios dépend des goûts et des couleurs. Votre médecin de famille fait de la randonnée au Népal, celui de S.O.S. Médecins ne s'intéresse qu'à vos livres. Et vous ne marchez toujours pas. Il faut opérer, mais quand ? Le professeur Rocher, le meilleur, vient lui aussi de se casser le genou... Quand la patiente s'appelle Nicole de Buron, cette simple histoire de fracture tourne à la sarabande épique et à la comédie moliéresque. Chacun se reconnaîtra un peu dans cette satire du monde, parfois effrayant, de la médecine.